Seins : une augmentation de taille

Bon nombre de femmes souffrent de seins trop petits, et ce parfois, dès l’adolescence. Si cette insatisfaction vire au complexe, l’augmentation mammaire s’impose comme une réponse à la fois esthétique et de bien-être.

Symbole de féminité par excellence, les seins, préoccupation essentiellement occidentale, doivent se voir. En art comme dans la vie quotidienne, ils s’imposent comme un véritable atout de séduction dont sont privées les femmes aux seins trop petits. Pour remédier à ce problème de taille : l’augmentation mammaire.

Augmentation mammaire : des implants en silicone dernière génération

Intervention la plus pratiquée en chirurgie esthétique, l’augmentation mammaire peut se faire de deux façons :

– La mise en place de prothèses de silicone, soumises à un contrôle de plus en plus strict.

L’injection de graisse ou lipofiling, privilégiée uniquement dans certains cas très précis.

C’est au cours de la première consultation que le chirurgien plasticien détecte l’origine des petits seins ( puberté, post grossesses, amaigrissement conséquent…), étudie la qualité de la peau et mesure la motivation de la patiente pour déterminer la technique et le type d’implants mammaires les mieux adaptés.

Formées d’une enveloppe en silicone élastique,  les prothèses peuvent être remplies de sérum physiologique ou de gel de silicone ; leur  surface peut être lisse ou granulée ; leur forme ronde, en poire, anatomique…

Pour un résultat le plus naturel possible, la plupart des chirurgiens plasticiens optent pour les implants mammaires en silicone cohésif de dernière génération qui présentent une consistance plus proche du sein naturel au toucher.

Un résultat adapté et harmonieux

Durant cette même consultation, le chirurgien plasticien mesure la largeur du thorax, des épaules, du buste….Et réalise des essais avec des implants mammaires de tailles différentes pour permettre à la patiente de se projeter dans un résultat en harmonie avec sa silhouette.

Après acceptation, l’intervention sera pratiquée en milieu hospitalier sous anesthésie générale.

Le résultat est visible après quelques semaines  et définitif après 6 à 12 mois.

2018-07-28T23:59:55+00:00